Le cinéaste britannique Andrew Haigh, déjà connu pour All of Us Strangers, entame un nouveau projet titré A Long Winter, coproduit par Mubi et Film4. Aucune information sur le lieu ou la durée du tournage pour l’instant, mais le seul nom de Haigh suffit à éveiller la curiosité des festivaliers et programmateurs du monde entier.
En parallèle, la réalisatrice de Vita & Virginia a bouclé le tournage de Our Fault: London.
La société Charades frappe fort sur le marché de l’American Film Market avec deux titres bien sentis :
De son côté, HanWay lance la comédie de vengeance Hey Bear avec un casting aussi barré qu’excitant : Mia Goth, Zach Galifianakis et Dan Stevens.
Apple Studios multiplie les projets premium. Derniers en date :
Paramount, fraîchement dirigé par David Ellison, inaugure sa nouvelle ère par une vague de licenciements qualifiée de « nécessaire » par le studio.
Chez Sony Pictures, les pistes s’ouvrent autour de plusieurs adaptations en prises de vues réelles de célèbres anime japonais. Aucun titre n’est encore confirmé, mais l’intérêt stratégique est manifeste.
Figure respectée du cinéma japonais, Yoji Yamada appelle à un soutien public massif du gouvernement, qualifie le cinéma d’« enjeu national ». Dans un Japon où le marché peine à se renouveler, cette voix pèse lourd.
Le cinéma d’animation japonais, lui, continue sa croissance à l’international avec un record à 25 milliards de dollars de revenus cette année, tiré par les ventes mondiales et les plateformes.
En Arabie Saoudite, la production locale s’impose : les films nationaux représentent désormais 23 % du box-office en 2025, une percée historique dans une région où la distribution locale était quasi inexistante il y a encore dix ans.
Paul Bales, partenaire et COO du studio The Asylum (célèbre pour ses Sharknado), prend la tête de l’IFTA (Independent Film & Television Alliance).
La productrice Teresa Moneo rejoint Good Chaos, structure indépendante déjà repérée avec Ballad Of A Small Player.
Enfin, un accord a été trouvé dans l’affaire The Lost King qui opposait Steve Coogan, Baby Cow, Pathé et des instances académiques britanniques dans un différend de réputation lié au film. Les termes de l’arrangement restent confidentiels.