
Paloma Sermon-Daï exprime son désir de continuité entre ses films, mettant en valeur sa volonté d'explorer l'adolescence à travers la fiction. Elle évoque également sa décision de choisir le Lac de L’eau d’Heure en Belgique comme cadre pour son dernier film, soulignant la fracture sociale présente dans cette région de la Wallonie. En ce qui concerne les acteurs non professionnels, Paloma mentionne avoir travaillé en amont avec eux pendant un an, nourrissant l'écriture du scénario grâce à leurs histoires personnelles et privilégiant leur naturel et leur spontanéité lors du tournage.